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CAÏN و MUCHI

En résidence du 31 janvier au 6 février

Caïn و Muchi est la rencontre de Vanda Forte et de Sinclair Ringenbach, en 2018, à l’université, dans le cadre du Master Acoustique et Musicologie. Le duo nait officiellement en 2020, à l’aube du premier confinement durant lequel Vanda rentre au Maroc, son pays natal. Flirt d’une collaboration à distance, chacun·e à un bout de la Méditerranée, un premier EP autoproduit, “Martyr/KU(7)” voit le jour en mars 2020.
Leur univers fusionne musiques traditionnelles de la région MENA et musiques électroniques, à mi-chemin entre expérimental, rap et club music ; symbiose de leurs influences respectives. Le design sonore méticuleux et l’orchestration des morceaux, mélangeant voix cristallines, battements électroniques et pulsions percussives, trouvent écho dans les textes engagés de Vanda, récits rêveurs et réalistes où iel aime semer le doute au moyen de métaphores et d’allégories, peinture d’une vie aux multiples facettes. Vanda chante dans divers dialectes arabes (marocain, égyptien, syrien, …) et aborde des sujets tels que la santé mentale, les oppressions sociales (racisme, patriarcat, ségrégation des genres) et conflits politiques (guerre en Syrie, conflit israélo-palestinien,..) qui transcendent la condition humaine : résilience, nouveau monde, après-guerre.
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NORMAL CRACRA

En résidence du 31 janvier au 6 février

Accompagnés en 2022 par l’AMI dans le cadre du dispositif BE ON

Dans le cadre de leur programmation à Jamais d’Eux Sans Toi
Pur produit de la Friche Belle de Mai, la collaboration entre Normal Cracra et Stark mise sur la rencontre d’une musique imprévisible, sans cesse mouvante, et du popping, style de danse funk d’une grande précision. Blanche Lafuente (Nout, Qonicho Ah !, Mamiedaragon) et Sean Drewry (Grand8, Sven Jalsco, Sweet Lovers) tirent leur inspiration de la part expérimentale présente dans tous les styles de musique : le cracra. Ils rencontrent Elarif Hassani aka Stark à la Friche Belle de Mai et c’est le déclic. La rencontre de ces univers est un magma créatif bouillonnant dont émerge des moments d’hallucination collective transcendantaux.
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VULVES ASSASSINES

En résidence du 31 janvier au 6 février

Les Vulves assassines, c’est DJ Conant, sa grande gueule et ses synthés crasses, MC Vieillard, ses gros muscles au service de son petit sampler, et Ingrid, véritable génie de la guitare électrique, pour un univers extra-terrestro musical’core. Les Vulves assassines, ça hurle, ça rappe, ça pue et ça laisse Booba sur le bord de la route comme un enfant de chœur paumé. Les Vulves assassines, c’est aussi l’espoir d’un monde meilleur, plus juste, un monde où Pierre Gattaz élèverait tranquillement des chèvres dans le Larzac au lieu de nous pourrir la vie.
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DONNA CANDY

En résidence du 7 au 13 février

Donna Candy propose un son lourd, puisé dans les sous-genres bizarres et sonores du rock expérimental. Des riffs de basse lourds, des voix aiguës et une batterie frénétique se fondent dans des récits troublants et des boucles extrêmes. En live, le groupe emmène le public dans des états sonores multicouches, émotionnels et physiquement densifiés.
Le premier album de Donna Candy, ’Blooming’, sortira au printemps avec le soutien d’une belle collaboration de labels : Kraak, bison, Swallowing Helmets et Isolat Records.
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Article dans Kraak
Dates : 16/02 Manchester, SOUP // 18/02 Londres, New River Studio // 19/02 Bristol, Strange Brew

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MPL

En résidence du 7 au 13 février

Cédric, Manu, Arthur, Julien et Andreas forment ensemble le groupe MPL. En 2020,
leur deuxième album L’Étoile les fait sortir de la confidence dans laquelle ils évoluaient jusqu’alors.Avec plus de 200 dates à leur actif, ils rassemblent un public grandissant
et envisagent chaque concert comme un espace privilégié d’expression de leur identité
artistique. Leur talent d’écriture évident séduit fans comme artistes, en témoigne
le chanteur Ben Mazué qui fit appel à eux pour l’écriture du titre Parents, figurant sur
son dernier album.Ils s’apprêtent à sortir leur nouveau disque Bonhommes le 27 mai
prochain, accompagné d’une tournée de concerts qui passera par le Trianon le 28 mai.
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Dates : 10/03 festival Avec le temps // 18/03 Le Printemps de la Chanson // 24/03 Les Abattoires // 07/04 Chateau Rouge // du 24 au 25/05 La Maroquinerie

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ELECTRIK PO

En résidence du 7 au 13 février

Po est le nom du panda dans le film Kung Fu Panda qui devient par hasard un maître de kung-fu malgré toutes les probabilités. Le nom Po incarne cet esprit de hasard ou de destin qui a réuni trois musiciens d’horizons très différents. Ajoutez de l’électricité à cette combinaison et vous avez Electrik-Pô.
La musique d’Electrik-Pô reflète parfaitement les symboliques de ce Panda « Electrique » au corps de Bouddha incarnant à la fois La Force, La Douceur et la Paix. Une musique de voyage et de danse, l’âme du groupe. (Pô signifiant « Ame « en Mandarin. Une vision aussi du monde tel qu’il est aujourd’hui toujours aussi sauvage, animal et hyper urbain.
Dans un style alliant l’electro smooth ambiant d’un Niels Petter Molvaer, , au Low file de Massive Attack ou d’un Portishead relax, d’un orientalisme proche d’Ibrahim Maalouf, et quelques aventures Balkano-beat-boxienne, Electrik-Pô réuni sur scène cette vie entre l’hyper urbain d’aujourd’hui et l’animal organique qui reste toujours en nous.
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CHU CHI CHA

En résidence du 7 au 13 février

Une frénésie musicale romantique-cumbia-électro-acoustique
Chu Chi Cha est un duo Franco-Chilien qui débarque à Marseille en plein confinement 2020. L’esprit apocalyptique dans lequel se trouve le monde à ce moment-là les poussent à explorer leurs limites et s’aventurer vers le son frénétique des machines électroniques. Ils créent un duo puissant qui mélange la musique électro avec le son de la cumbia et plus si affinités. Les rythmes envoutants colorés par les voix et les mélodies de l’accordéon et du violon viennent se glisser dans l’atmosphere explosive des boîtes à rythme. La fusion avec le public prend feu. Résultat de la cumbia électro acoustique à découvrir sans modération !

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Dates : 10/02 sortie single Colegia revolucionaria // 18/03 - Molotov // 31/03 - La Fabulerie // 01/04 - La Sourcière // 22/04 - Le K’fé Quoi

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TASTE

En résidence du 7 au 13 février

TASTE, c’est d’abord l’histoire d’une amitié entre deux musiciens et producteurs français scellée il y a 10 ans lors d’une date commune à Berlin. Une amitié née sous le signe de l’amour de la musique, d’une certaine exigence esthétique et du goût de la fête jusqu’au petit jour. C’est aussi l’histoire de morceaux construits peu-à-peu, sans plans de bataille ni idées préconçues, au gré de leurs envies et de leur goût commun pour le disco
bancal, le kraut-rock, l’indus, la new wave et la dance music vicieuse. Des premières sessions improvisées aux versions finales des morceaux, il se sera écoulé pas loin de cinq ans. Cinq ans durant lesquels nos deux compères auront eu tout le temps de sortir des albums, de partir en tournée, d’engranger des points d’expériences chacun de leur côté. Ce sont les confinements de 2020 et 2021 qui vont permettre à TASTE de se cristalliser, non seulement musicalement, grâce à de nombreuses séances à distance, mais également en tant qu’entité. Après cette période
socialement amputée, après de longues années de « projets solo », il semblait évident pour eux deux de monter un groupe, une aventure collective, pour faire exister ces pistes et leur donner l’humanité qui manque souvent à la musique d’aujourd’hui. Ainsi, les boite à rythme des démos au son plus électronique font place à des prises de batterie, et l’arrivée d’un deuxième guitariste réaffirme une dimension rock et une plus grande profondeur aux chansons. La place des synthétiseurs y reste importante, mais la balance penche du côté d’une musique jouée live, ou l’horloge interne des séquenceurs accompagne plus qu’elle ne dirige.
Après la sortie de leur premier single Shame Game en novembre dernier, le groupe s’apprête à livrer un nouveau single, Bang Bang Bang, le 6 janvier 2023 annonciateur d’un EP 5 titres pour le 3 février. Dans ce bal rockab et gothique, la voix grave du chanteur sous influence Iguane invoque l’horreur des tueries de masse par trois onomatopées résonnant dans la nuit. Ou bien n’est ce qu’une invitation à danser jusqu’à la mort ?
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Dates : 24/02 1er EP autoproduit // 01/03 Release party à l’International (Paris)

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IELENA B.

En résidence du 7 au 13 février

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ATELIER PARLE-MOI DU FUTUR

En résidence du 13 au 20 février

Après avoir abordé le rapport au “collectif” au cours des premiers ateliers introductifs “MY SQUAD SESSIONS”dans le cadre du festival Hip Hop Society en novembre 2021, les échanges se sont poursuivis autour de la question du “positionnement” dans l’optique d’enrichir les phases d’écriture par leur créativité et leurs propres expériences. Cette seconde étape de travail intitulée “BOUGE DE TA PLACE” impliquait en effet que les participants interrogent l’acte de se situer là où personne ne les attend ; comment réagit-on quand on est sommé de rester à sa place ; quand on est cantonné à un espace qui nous réduit ? Y a-t-il une bonne façon de réagir ? Ou y a-t-il DES façons de réagir et plusieurs manières d’en discuter ? -
Cette nouvelle étape leur propose d’imaginer une autre forme de déplacement : celle de la projection dans le temps. La relation au temps est une façon commune que nous avons de prendre le pouls du monde. Elle témoigne de l’enthousiasme, de la stupeur ou de la résignation ressentie face aux événements. Elle aide à forger des explications
conjoncturelles, à construire du sens intime ou lointain.
Nous questionnerons donc ensemble et librement la notion de futur et les sensibiliserons aux notions d’utopie et de dystopie, procédés de narration largement explorés dans les arts, en général.

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VINCENT ROUSSEL

En résidence du 13 au 20 février

Envisager la batterie et les percussions comme un ensemble sensible et modulaire. Elles y sont paroles, rythmes, textures ou bruits. Son vocabulaire est attentif aux gestes, aux accidents, aux silences, aux dynamiques.
Il ne s’agit pas d’idée, de projection ou de réflexion mais bel et bien d’un état de connexion avec soi même, les autres et l’espace dont l’instant est le cadre.
Cette pratique de l’improvisation se développe en solo (Petit vacarme), en duo (avec François Wong, Sweet Lovers), en trio (Sven Jalsco) ainsi que dans des projets pluridisciplinaires (poésie, danse) ou plus traditionnel d’inspiration occitane (Iranhe, Desmoustousi).
Il est passé par le GMEM, Festival Le son des peuples, DATA, Festival MIMI, le DADA, La Déviation, Le PIC, l’Asile 404, Festival Month of Performance Art Berlin, LUFF Lausanne Underground Film & Music Festival, Ostau dau Paìs Marselhès, Festival Maintenant, Festival Angle Mort, Tiasci, L’embobineuse, Le son des Pierres, Cave 40, la Villa des cents regards, Festival Assier dans tout ces états, Conservatoire Régional de Rennes, IPN, La Bascule, le 104...
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JARDIN & DIPHTONG CIE

En résidence du 13 au 20 février

Jardin (Lény Bernay) est diplômé.e de l’EBABX, École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux. Co‐fondateur.ice de Cultural Workers, ses collaborations avec Hubert Colas, Simon Johannin, Marguerite Humeau, Mathilde Fernandez et Cecile di Giovanni, l’ont conduit.e à présenter son travail au Festival d’Avignon, au Palais de Tokyo, au Centre Pompidou Paris, à Montevideo à Marseille, au CAPC de Bordeaux, aux Abattoirs à Toulouse, à la Villa Noailles à Hyères, à la Fête du Slip à Lausanne (Suisse), au Belluard Bollwerk (Fribourg, Suisse), au Festival Actoral (Marseille + Montréal et Ottawa - Canada) et sur différentes scènes. Son travail a notamment été diffusé dans Libération, Arte (Tracks) et le magazine I‐D. Iel vit et travaille en France.
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LE GRAND MAL

En résidence du 13 au 20 février

Les instrumentales, toutes droit sorties d’un autre monde, par Lebannen rencontrent la voix particulière de Julia, qui parle et chante des textes élaborés autour des divagations de son esprit et de sa psyché intime. Poésie, philosophie et psychédélisme cohabitent avec une rare sincérité sur chaque facette de ce projet hors du commun aux confins de la pop de l’électro et du slam.
Dates : 17/02 sortie du projet Boule à facettes (film album d’1h)
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S.LOW

En résidence du 13 au 20 février

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OTHERS

En résidence du 13 au 26 février

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KILLIAN DE LUMIÈRE

En résidence du 21 au 27 février

Les premières traces de Killian sur Terre remontent à l’aube de l’humanité, on le retrouve mentionné dans Theravâda en tant qu’élève du Bouddha. Plus tard, dans l’évangile selon St Mathieu où il est décrit errant en Galilée. Socrate l’apostrophe dans un de ses discours et Marc Aurèle le mentionne dans ses mémoires. Bien plus tard, c’est dans le générique de "C’est pas sorcier" que son nom apparaît. Jamy dira de lui : c’était mon collègue préféré après Fred.
Une chose est sûre, son histoire moderne débute avec un terrible accident. Frappé par un AVC en 2020, Killian de Lumière est victime d’une amnésie générale. De ces siècles de labeur intellectuel parmi les plus grands, il ne lui reste plus rien. Pour autant son corps, lui, est intact. C’est alors que le mystique se relève ... et il danse. Transporté par l’expérience du corps qui bouge en synchronie avec les vibrations sonores, Killian décide de parcourir le monde pour organiser des cercles de danse mystique.
Notre ami se munit de machines et compose de la musique électronique. Les kicks autoritaires hypnotisent, éveillent les pulsions primitives ; les synthétiseurs enveloppent, voilent le rythme, pacifient ; parmi ces constructions géométriques, une voix traverse parfois la machine et poétise. Sur scène, des pads électroniques pour le plaisir de frapper, un micro pour le plaisir de chanter et de l’espace pour le plaisir d’inviter à danser.
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Dates : 01/03 sortie d’EP

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DAVID WALTERS

En résidence du 21 au 27 février

“Soul Créole !”. Deux mots suffisent à David Walters pour qualifier sa musique. Le point d’exclamation servant à appuyer la radicalité et la foi en son propos.
Une définition lapidaire derrière les portes de laquelle se cache le dédale d’une culture qui traverse les océans, relie continents et archipel par un fil invisible mais néanmoins puissant. Un trait d’union profondément ancré qui permet à Afrique, Amérique, Europe et Caraïbes de converser entre eux avec une langue aussi universelle que la musique, la danse, les carnavals ou les cérémonies exutoires.
Eparpillées sur le globe, les différentes cultures créoles, trouvent pourtant un point de convergence où elles sont toutes représentées : New York.
Dans cette ville où, sur un coup de tête motivé par son ami photographe JR, il a un jour donné un concert en pleine rue, David Walters a décidé de poser le décor de son nouvel album.
Après cinq ans à parcourir le monde pour les Nouveaux Explorateurs de Canal +, à emmagasiner les rencontres musicales, c’est autour de cette ville hyperactive qu’il a choisi de faire briller son Soleil Kreyol. D’imprégner sa musique de l’état d’esprit et de l’esthétique qui y régnaient dans les années 70 et 80.
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FERRAJ

En résidence du 21 au 27 février

Ferraj, c’est la rencontre de cinq natifs algériens et marseillais d’adoption. En 2016, ils décident de redonner un souffle à la poésie traditionnelle algérienne, des poèmes berbères et bédouins d’une tradition populaire, orale et ancestrale. Apologie de l’amour, éloge des plaisirs de la vie, les mots viennent dessiner un panorama des cultures du désert aux rives de la Méditerranée. Ces poèmes destinés à l’oubli reprennent vie avec une musique à la fois traditionnelle et moderne. Les instruments de musique ethnique comme les karkabou, le t’bal, le bendir ou le guellal viennent ponctuer les rythmes dansants de la batterie, flirter avec le groove de la basse et se distordre avec
les guitares électriques envoûtantes. Ferraj puise ses influences dans le raï, le chaâbi, le blues du désert mais aussi la musique afro, le rock psyché, et le jazz-funk.
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Dates : 17/06 - Festival Africa Fête

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JO KEITA

En résidence du 21 au 27 février

Jo Keita, chanteur, auteur et compositeur, puise sa musique dans ses origines africaines qu’il mêle à la culture Pop et urbaine d’aujourd’hui. C’est au Sénégal, en passant par la Côte d’Ivoire, que Jo Keita se forge une culture musicale éclectique en écoutant la collection de disques de son père, Bob Marley, Salif Keita, Cheikh Ndiguel mais aussi Otis Redding, Steel Pulse, positif black soul et Daaraji Family. Il s’achète alors une guitare, et commence à composer des chansons en wolof, anglais, français, et bambara. Au Sénégal il côtoie les Baye Fall, confrérie spirituelle avec laquelle il développe son chant.

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BRIKABROK PRODUCTION

En résidence du 21 au 27 février

Brikabrok Production c’est un projet de chansons aux styles mélangés, entremêlés
Après la sortie du nouvel album "Cousue Main"aux musiques arrangées,
l’expérimentation live propose de les déplumer, les découdre, les dénuder
pour arriver au coeur de la matière de la façon la plus brute et la plus épurée possible
Nell (guitare électrique/voix/machins-machines) est accompagnée par l’artiste multidisciplinaire Dawta jena (voix/basse/percussions).
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Dates : 28/04 Festival Le Grand Ménage